Alors que je suis débordée, ne sachant où donner de la tête, quelle nouvelle astuce trouver pour échapper à un term paper peu enthousiasmant, le printemps vient toquer à ma fenêtre, éblouissant à en cligner des deux yeux à la fois. En effet, après un mois d'attente, après la neige et les sapins tout blanchis le 10 avril, ça y'est, la barre des 10°C est franchie, plus moyen de reculer. Le ciel bleu et dégagé semble enfin plus grand et plus haut, le vent se fait doux et tiède, et la terre toute molle a fini d'absorber la neige fondue. Alors même que je vais ouvrir un document word tout exprès pour travailler, c'est dire mon désespoir, je suis soudain obligée d'attraper une veste, des lunettes de soleil et un appareil photo et de sortir vérifier si le printemps a aussi bonne mine vu de dehors.
Et même que c'était une drôlement chouette balade.
vendredi 18 avril 2008
Allongés sous les vagues...
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2 commentaires:
naaaaan mais je rêve, tu te crois oùùù ? au boulot avec tes coques en pâte, et que ça saute !
BONNES VACANCES !!!
à quand le plongeon dans la piscine naturelle de Kringsja?
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