Enfin, pour clore cet album numérique à la pointe de la technologie, petite note symbolico-métaphorique : quelques portes rencontrées à Alep.
A l'issue de ces deux semaines inoubliables, je n'aurai finalement vraiment percé aucun mystère du monde arable, mais il ne s'agit plus pour moi d'un monde étranger et homogène. Certaines coutumes, certaines habitudes, certains détails des cultures effleurées pendant mon séjour me sont plus lisibles et perceptibles. J'ai pu, en Syrie et au Liban, et aussi grâce à mes hôtes et guides quatre étoiles, et à mes consoeurs baroudeuses chic et choc, faire ce que j'aime le mieux. Faire connaissance. Apprendre à connaître. Apprivoiser et me laisser apprivoiser. Il y a eu des électrochocs. Certains voiles ne se sont jamais levés. Et il y a eu des moments délicieux (découverte de Beit Jabri, sa cour intérieure à ciel ouvert, ses jasmins et bougainvillées grimpants, ses chichas, ses limoun-bil-naana...). A l'image du soleil pendant ces 15 jours, j'ai fait un voyage éblouissant et passionnant.
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